On pourrait dire de L’Attente infinie qu’il s’agit d’un livre autobiographique puisque dans cet épais volume, Julia Wertz nous livre un récit de vie très personnel. Mais sa force tient avant tout dans la virtuosité de son écriture, à la fois cinglante et hilarante, bourrée d’humour et d’autodérision.
Entre 1982 et 2012, Julia Wertz a fait beaucoup de choses : elle a enchaîné toutes sortes de petits boulots, elle a déménagé dans différentes villes, elle est tombée gravement malade, elle s’en est tirée, elle a été embauchée, elle s’est fait virer, elle a aimé (pas trop), elle a lu beaucoup de livres et fait beaucoup de blagues, elle a découvert la BD, elle a été publiée, elle a bu (beaucoup), elle a déprimé, elle a arrêté de boire, elle a grandi, elle a réfléchi et elle a eu envie de le raconter…
Un épais volume à l’humour cinglant, plein d’autodérision et de réflexions aussi loufoques qu’existentielles. Qui d’autre que Julia Wertz, à l’esprit libre et décomplexé, pouvait signer cette chronique autobiographique époustouflante ?
“Son humour acide s’exprime à travers un langage sans filtre et des réflexions mordantes” (Les Inrocks)
“Julia Wertz, Karma éthylique” ( Libération)
“Une si charmante antisociale” (Books)
“À lire au lit, avec un thé ou un whisky” (Magazine Néon)
“Cette gamine est devenue l’une des dessinatrices les plus trash d’Amérique” (ChEEk Magazine)
“Julia l’intrépide” (DBD)