The Man with the Synthetic Brain et les films avec des cerveaux géants, William Castle et The Tingler, des films discrépants, des films de plage, Pink Narcissus, Blacula et Blackenstein, The World’s Greatest Sinner, Thundercrack, The Savage Eye, les films de la Ormond Family, Double Agent 73 et les films de Doris Wishman, The Unknown de Tod Browning, les films de Santo, Carnival of Souls, The Thing with Two Heads, Daughter of horror, des films pink et Koji Wakamatsu, des films dans un langage étrange, des films avec des nains, des films où il ne se passe - presque – rien, des films de monstres, de boxe, de montagne, de Destroy all monsters, d’é́jaculations, des frères Kuchar, de José Mojica Marins, des films qui passent du noir et blanc à la couleur, des films en vidéo, des films zoophiles, des films de propagande, des films avec des mains coupées qui continuent à bouger, les films qui ont fait de moi un fainéant, Orgy of the Dead, Soy Cuba, Fuego, Mondo Trasho, Hustler White et bien d’autres…
Du cinéma d’auteur le plus avant-gardiste aux films d’exploitation les plus éhontés, des films les plus outrageusement queer aux plus exagérément hétéros… de Hollywood jusqu’à l’underground brésilien en passant par les lettristes Rive gauche ou les révolutionnaires cubains… des Super 8 zoophiles allemands jusqu’au plus aride des films de Marguerite Duras, de longs-métrages de propagande catholique et anti-communiste à des brulots insurrectionnels de l’extrême gauche japonaise… en 315 pages, quarante chapitres et un épilogue, une histoire du cinéma autre, une autre histoire du cinéma…